Surveillance des virus aéroportés dans les transports

Pourquoi et comment établir une surveillance efficace des virus aéroportés de l’air recyclé des transports publics et améliorer la biosécurité des passagers?

Pourquoi contrôler la charge virale de l'air recyclé en cabine passagers et dans les transports en communs?

Toute filtration de l’air recyclé nécessite la vérification du bon fonctionnement des filtres même si ce sont des filtres HEPA à cause de fuites possible indetectées.

Certaines cabines passagers dans l’aviation privée et dans certains trains ne disposent pas de capacité de filtration suffisante capable de retenir les particules virales de tailles submicroniques.

Un risque de relargage est toujours possible et le contrôle de fuite des filtres HEPA est une opération lourde à effectuer, nécessitant une immobilisation et une équipe spécialisée de maintenance.

Même si l’air des cabines passagers est aspiré du bas vers le haut en cabine passager et renouvelé (comme dans certains trains), les turbulences provoquées par les passages fréquents du personnel embarqué et des passagers dans les allées modifie l’aérodynamique du moment.

Ces perturbations prolongent le temps de résidence des particules virales fuitant des passagers équipés de masques même vaccinés (porteurs sains).

 

Ces perturbations prolongent le temps de résidence des particules virales fuitant des passagers équipés de masques souvent mal ajustés, même si ces passager sont vaccinés (porteurs sains).

Un contrôle rapide de la charge virale aéroportée de l’air ambiant recyclé et mélangé à l’air frais permet de détecter une anomalie du fonctionnement du traitement de l’air durant le trajet en transport en commun ou durant le vol.

Ainsi en cas de présence anormale de virus respiratoires dans l’air, des mesures correctrices rapides pourront être prises pour améliorer la biosécurité des passagers et du personnel embarqué.

Mais comment détecter une charge virale diffuse dans l’air?

Prélever de gros volumes d'air pour récupérer des virus en présence diffuse...

Pour cela il faut concentrer de gros volumes d’air pour récupérer des particules virales en présence diffuse. La plupart des biocollecteurs capables de retenir les virions, colmatent rapidement ou ont des supports de collecte, tel que les filtres en gélatine sensibles à la dessication ou à l’hygrométrie et ne peuvent pas être utilisés plus de 15 minutes, d’autres tel les impacteurs liquides ne sont pas capables de collecter des particules virales inférieures au micron, ce qui est problématique car un bon nombre d’études montre que nombre de particules émises par les voies respiratoires sont inférieures au micron.

Y-a-t-‘il donc une solution? 
Oui un biocollecteur à haut débit  le Sass 3100 a fait ses preuves pour la bio-capture à haut débit des particules virales aéroportées dans les réseaux de transport urbain et aussi en milieu hospitalier.